Changement d'adresse

Chères lectrices, Chers lecteurs,

Désormais mon blog déménage à cette page: http://ittakestwotopolka.wordpress.com/

Rendez-vous là-bas pour encore plus fun, de joie, et de bonne humeur.

Buzi,

Milena

Tortues Ninja, Tortues Ninja et pizza fraîche

Certains d'entre vous [notamment ceux qui suivent Jenna Marbles sur Youtube] se demandent pourquoi les tortues ninja mangent des pizzas. 

Je n'avais jamais remis en question le fait que les tortues ninja soient: 1° des tortues, 2° ninja (sinon ça ne s'appellerait pas "tortues NINJA", ça s'appellerait "tortues... choucroute"?), 3° des tortues qui parlent (je n'ai personnellement pas encore eu l'honneur de rencontrer des tortues qui parlent), 4° de taille humaine (taille humaine musclé/balèze pas taille humaine crevette-des-îles), 5° qui mangent des pizzas. 

[vous remarquerez que j'aime bien alterner des mots en couleur, ben euh, voilà, j'aimais bien]

Puis je trouve ça suspect, maintenant, a posteriori et après mûre réflexion que les tortues ninja mangent des pizzas. Ça mange pas de la salade les tortues? Je sais pas moi. O_o

Tout ça pour vous dire que j'ai fait de la pizza. Moi-même. Tel un pizzaïolo. Et comme j'aime partager mes connaissances limitées avec le commun des mortels, voici une recette simple de pâte à pizza méga-bonne. :)

Ingrédients (pour 3 pizzas d'environ 26 cm de diamètre)

Ça tombe bien, je vais mesurer le diamètre de ma pizza avec mon mètre Ikea, tiens...

- 450g de farine 

- 15g de levure fraîche (dans le rayon frais, à côté des pâtes à tarte etc.)

- 300 ml d'eau tiède

- une pincée de sucre

- 8g de sel

- 50g d'huile d'olive

Modus operandi

1. Mettre la farine, la levure, l'eau et le sucre dans un plat (ndlr: je mélange l'eau tiède avec la levure avant afin qu'elle se dissolve). Mélanger le tout avec vos petites mimines.

2. Ajouter sel et huile d'olive et malaxer la pâte pendant une dizaine de minutes (où jusqu'à ce qu'elle ait une bonne tête). 

3. Séparer la pâte en trois bollekes boules et couvrir avec un film plastique. Laisser reposer 30 minutes à température ambiante.

4. Préchauffer le four à 225° C (pas 225° klingons). 

5. Faire ta sauce pour pizza (ndlr: j'ai rissolé une échalote avec une gousse d'ail, puis ajouté 200g de chair de tomates et laissé mijoter à feu doux; nota bene: j'ai fait de la sauce pour une pizza, la recette veut qu'on utilise 400g de chair de tomates pour la sauce de trois pizzas).

6. Prendre ta pâte à pizza quand c'est OK, l'étaler, mettre de la sauce dessus, laisser un bord de 1,5 cm tout autour, mettre la garniture de tes rêves les plus fous (champignons, mozzarella, jambon, enzovoort).

7. Cuire 12 à 15 minutes. 

 

TADAAAAA! [bonjour, je fais des photos de mes plats avec Instagram]

A votre gauche, une mini-pizza avec sauce tomate aux échalotes, poivrons jaunes et olives vertes aux anchois, recouverte de fromage râpé. Amen.

Sur ce, très chers, je vous souhaite une agréable soirée/nuit/matinée/journée/vie/whatever.

Et le mot de la fin est: tortuninjatortuninjaaa!

J'ai un machinphone

Il fut un temps où je faisais partie des gens qui disaient "quoi? Un iPhone? Un smartphone? Mais pour quoi faireuh?". Non mais ho, je ne suis pas accro à Internet [du tout...].

Mais tout un chacun sait qu'il ne faut jamais dire tant va la cruche à l'eau "fontaine, je ne boirai jamais de ton eau"  [oui, j'emploie les vieux dictons de Mamy].

Le destin aidant, je me suis retrouvée digne propriétaire d'un smartphone.

Le problème, quand tu as un smartphone, c'est que c'est pas juste un téléphone pour... téléphoner? Le smartphone fait tout. Sauf frigo. Et ouvre boîte.

Les propriétaires de smartphones seront d'accord avec moi, il y a des applications pour tout. Sauf que quand t'as un trucphone, tu ne dis pas "application", tu dit "app" (une app, deux apps).

Par exemple, j'ai l'app Facebook (indispensable), les app STIB & SNCB (je transporte en commun, moi, je voyage responsable genre), Instagram (parce que moi aussi je veux montrer à des gens que je fais des cools photos pseudo photoshoppées), l'app batterie (ben comme ça je sais quand mon téléphone - pardon, mon smartphone - rendra l'âme), shazam (au cas où j'entends une musique trop bien), l'app "accordeur de guitare" (comme ça je peux accorder ma guitare quand je veux, où je veux parce que je me promène bien sur avec une guitare sous le bras).

I'm bringing sexy back, yeah!

Puis j'ai des jeux (iiiih <o/). Parce que bon, à quoi ça sert un smartphone si t'as pas angry birds ou cut the rope <3.

Et maintenant que j'ai un smartphone (et que je suis Mobile Viking), je peux être encore plus asociale qu'avant et lire mes mails partout, checker mon facebook en pleine journée etc. etc.

Et bon, comme j'ai aussi l'application Youtube et que j'ai des super bons goûts musicaux je sais, je suis très humble vas y que je te balance une petite vidéo du nouveau Madeon dans ta face. Ne me remercie pas.

La patience est mère de toute vertu

Si la patience est mère de toute vertu, je ne suis manifestement pas quelqu'un de très vertueux. En fait, que dis-je? Je ne suis pas vertueuse du tout!

Aujourd'hui, n'écoutant que mon courage, j'ai décidé d'agir en adulte responsable [ha ha, la méga blague...].

Etape 1: téléphoner à mon syndicat. Après une attente interminable de dix minutes, et mille fois ce petit jingle "votre appel est le prochain à être servi / U wordt als eerst geholpen", je me dis qu'ils se foutent un peu de ma g* [auto-censure]. Bon, ce n'est que la quinzième fois en une dizaine de jours que je tente de les appeler... Hein... Si sur une durée de 15 x plein de minutes, j'étais supposée être la prochaine à être aidée, j'ai le temps de crever trois fois. 

Dois-je préciser que je n'ai jamais eu de réponse à mes mails / mes appels passés sur les numéros donnés par mon délégué syndical? Après le parcours du combattant, j'ai quelqu'un en ligne [paix & amour, paix & amour...], une personne pleine de bonne volonté me répond. 

"Ben en fait faut que vous veniez au bureau, hein". Votre bureau qui est ouvert du lundi au vendredi entre 9h15 et 12h? "Ben oui". Ouais mais je bosse. "A temps plein?", dit-il avec de la surprise dans la voix. Ben non, je suis SDF en je tisse des ponchos en laine de lama alcoolique. Oui, à temps plein. "Ah oui ben, ça va pas alors". Brillant. Tant de perspicacité m'émeut.

Etape 2:  repasser. Déplier la table à repasser: check. Brancher le fer à repasser: check. Repasser T-shirt nouméro ouno: check. Et c'était fini. C'est trop chiant de repasser. Arghl. Au pire, je peux faire croire aux gens que j'ai dormi avec mes fringues parce que je bosse trop et je me suis endormie au boulot. Ouais, c'est bien ça. On pourrait le croire. Hin hin. [quoi?]

Etape 3: téléphoner au service sinistres de Belfius (boulot oblige, et j'ai la chance de bosser dans les assurances). Après sept minutes de musique d'attente, j'ai décidé de me pendre avec le cordon du téléphone rappeler pour tenter de berner le système téléphonique de Belfius. Ca a marché. BOUAHA!

Pour résumer, la patience c'est pas pour moi. Sur ce, je vais mettre un t-shirt tout chiffonné et manger des chips (ça prend du temps de cuire, la nourriture...).

Et le mot de la fin est: ZzzZzzZz.

Je ne suis qu'amour

Oh, la joie d'avoir des petits frères. [*tousse*]

Pourquoi, oh Grand Dieu, pourquoi [?!] j'ai eu cette idée, étant gosse, de demander à mes parents un petit frère ou une petite soeur. Enfin, je suppose que je l'ai fait comme tous les enfants normalement constitués. Quoique je n'ai jamais vraiment été normalement constituée. BREF. 

Ayant l'âge canonique de 25 ans, mon tout petit meugneumeugneuh frérot a maintenant seize ans. Et une seconde sess'. [oui, Lou, je parle de toi]

Etant l'aînée et la plus intelligente de la fratrie, on [a.k.a. ma mère] m'a confié la lourde tâche la mission hautement gratifiante d'étudier la langue de Shakespeare avec mon petit frérot d'amour. 

Dois-je préciser que ma mère m'a proposé de me refiler un Valium avant de commencer à réviser? Après deux heures d'étude, je pense que j'aurais bien besoin de la boîte. Entière. Le Valium est mon ami. Et une bouteille de vodka, avec ça. 

Ceci représente mon état d'esprit actuel

[= je me suicide avec optimisme ]

Mon frère me présente ses feuilles de révision: huit pages. 

Piece of cake. 

Tranquillou. 

Pfeuh, les doigts dans le nez. 

Que nenni! Trois feuilles de révision en deux heures. 

- Comment tu dis "demain", en anglais? 

- Toronto.

Je doute que les canadiens soient du même avis. Mais bon. [Toronto est toujours au Canada... rassurez-moi?]

Mais je ne m'avoue pas vaincue [pour l'instant]. Je vais tenter de revoir le passé continu [ouuuais! *\o/*] sans essayer de m'ouvrir les veines avec une feuille de notes.

May the odds be ever in your favor.

Alors le mot de la fin est: ARRRRRGHL.