samedi 1 septembre 2012

Je ne suis qu'amour

Oh, la joie d'avoir des petits frères. [*tousse*]

Pourquoi, oh Grand Dieu, pourquoi [?!] j'ai eu cette idée, étant gosse, de demander à mes parents un petit frère ou une petite soeur. Enfin, je suppose que je l'ai fait comme tous les enfants normalement constitués. Quoique je n'ai jamais vraiment été normalement constituée. BREF. 

Ayant l'âge canonique de 25 ans, mon tout petit meugneumeugneuh frérot a maintenant seize ans. Et une seconde sess'. [oui, Lou, je parle de toi]

Etant l'aînée et la plus intelligente de la fratrie, on [a.k.a. ma mère] m'a confié la lourde tâche la mission hautement gratifiante d'étudier la langue de Shakespeare avec mon petit frérot d'amour. 

Dois-je préciser que ma mère m'a proposé de me refiler un Valium avant de commencer à réviser? Après deux heures d'étude, je pense que j'aurais bien besoin de la boîte. Entière. Le Valium est mon ami. Et une bouteille de vodka, avec ça. 


Ceci représente mon état d'esprit actuel
[= je me suicide avec optimisme ]


Mon frère me présente ses feuilles de révision: huit pages. 

Piece of cake. 
Tranquillou. 
Pfeuh, les doigts dans le nez. 

Que nenni! Trois feuilles de révision en deux heures. 

- Comment tu dis "demain", en anglais? 
- Toronto.

Je doute que les canadiens soient du même avis. Mais bon. [Toronto est toujours au Canada... rassurez-moi?]

Mais je ne m'avoue pas vaincue [pour l'instant]. Je vais tenter de revoir le passé continu [ouuuais! *\o/*] sans essayer de m'ouvrir les veines avec une feuille de notes.

May the odds be ever in your favor.

Alors le mot de la fin est: ARRRRRGHL

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